Couche d’ozone

Tout le monde a entendu parler du « trou » dans la couche d’ozone.
Ce « trou » serait causé, ont déclaré les scientifiques de l’époque, par la diffusion dans l’atmosphère par l’homme de certaines substances chimiques (là est un point qui semble tout à fait essentiel : l’homme doit, par définition en quelque sorte, être le responsable de tous les maux de la planète).

Cette légende, car c’en est une, continue à perdurer : les scientifiques d’aujourd’hui, nous en « informent ».

Voici un extrait d’un article paru en 2023 dans la revue Futura-sciences :

( reférence : https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/pollution-trou-couche-ozone-vient-achever-nouveau-cycle-apres-comportement-inhabituel-107290/ )

« Les dernières mesures du satellite Sentinel-5P de Copernicus ont montré que le trou dans la couche d’ozone est actuellement l’un des plus grands jamais enregistrés, et qu’il présente une taille record pour cette période de l’année. Il s’étalait sur 26 millions de km2 le 16 septembre dernier, l’équivalent de trois fois la taille du Brésil. Rappelons que malgré sa « guérison » en cours depuis l’interdiction d’utiliser certaines substances chimiques (sic !), le trou fluctue au cours de l’année. Il est normal que celui-ci s’agrandisse de manière saisonnière, entre les mois d’août et octobre chaque année. Son maximum est habituellement atteint mi-septembre, d’où les mesures de Copernicus à cette période »

L’un des plus grands jamais enregistrés ? En 2023 ? N’aurions-nous pas déjà fait le nécessaire pour boucher ce trou ? D’ailleurs, il est rappelé sa guérison en cours… depuis l’interdiction d’utiliser certaines substances chimiques …

La réalité c’est que ces interdictions n’ont servi à rien. Le trou dans la couche d’ozone n’a jamais été aussi grand, car, bien évidemment, ce trou n’a aucun rapport avec les activités humaines. Voici pourquoi :

Comment se fabrique la couche d’ozone ?

En venant frapper les molécules d’oxygène O2 situées dans la basse stratosphère, les rayons UV transforment ces molécules en molécules d’ozone O3 ( trois molécules O2 donnent deux molécules O3). Puis, cet ozone, atteint à son tour par les rayons UV, est « cassé » en molécules d’oxygène O2. Ces phénomènes constituent donc un cycle naturel ( l’homme n’a rien à y voir) permettant au final que perdure une couche d’ozone dans la basse stratosphère. Cela contribue, comme on le sait, à protéger la vie au sol, qui serait en grand danger sans l’existence de cette couche.

De quoi parle-t-on quand on évoque un « trou » dans la couche d’ozone ?

L’homme dispose d’instruments extrêmement précis et d’une technologie de plus en plus sophistiquée et performante. Cela lui permet d’effectuer des mesures dans la couche d’ozone et de se rendre compte que celle-ci possède une « épaisseur » variable. C’est ainsi que dès les années 1970-80, les scientifiques ont réussi à déceler, notamment au-dessus de l’Antarctique, une zone bien moins épaisse qu’ailleurs.

Pour des raisons que j’ignore, mais qui à mon sens sont dénuées de tout fondement scientifique, il a immédiatement été recherché la cause anthropique d’un tel phénomène.

Et, de même que le dit le célèbre adage :

« Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage »…

De même on a « trouvé » la cause anthropique en question… Il en fallait une…

Mais poursuivons la lecture de l’article de Futura-sciences.

Le trou dans la couche d’ozone est saisonnier. Pourquoi ?

Les scientifiques ont découvert que ce trou était saisonnier. Ils ne le savaient pas vraiment lors de la découverte de ce trou, et par conséquent n’auraient-ils pas mieux fait de se taire à l’époque plutôt que d’invoquer une raison anthropique à l’existence de ce trou. C’est tellement facile et tellement utile pour faire sensation parmi la population que d’invoquer une raison anthropique… (donnez-moi une meilleure explication à cet état de choses, je suis preneur, et je précise que je ne suis nullement complotiste : je cite des faits. Ces faits sont difficiles à admettre par un scientifique honnête, c’est tout. Et c’est la raison pour laquelle je ne les admets pas)

L’explication du caractère saisonnier de ce trou, qui s’ouvre et se referme au dessus des pôles, me parait pourtant extrêmement simple à trouver. L’hiver, aucun rayonnement ultra-violet ne parvient dans la stratosphère située au-dessus des pôles. La nuit y dure 6 mois. Par conséquent on ne voit pas bien comment de l’ozone pourrait se fabriquer, puisqu’il manque précisément ce qui permet sa fabrication, à savoir le rayonnement UV. Il est donc tout naturel qu’il y ait moins d’ozone au dessus des pôles de façon saisonnière. Lorsque l’été revient, par contre, la fabrication d’ozone se remet en route, puisque les rayonnement UV atteignent de nouveau ces zones situées au-dessus des pôles.

Le trou dans la couche d’ozone a-t-il un impact sur le réchauffement climatique ?

Pour un scientifique « moderne », par définition, tout ce que fait l’homme a un impact sur le réchauffement climatique. (ironie)

La réalité est la suivante : s’il y a un trou dans la couche d’ozone, l’hiver, c’est qu’il n’y a plus de rayonnement UV pour pouvoir fabriquer de l’ozone.

Ce rayonnement UV qui n’existe plus va donc pouvoir traverser la couche d’ozone et venir faire fondre les glaces de l’Antarctique… (ironie)

C’est normal, puisqu’il n’existe plus…(ironie)

La logique de ce raisonnement m’échappe…

 

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